Every image needs an ALT tag
Every image needs an ALT tag

Les tortues marines sont parmi les espèces animales les plus menacées d'extinction dans le monde.

Nos forêts ont des bienfaitrices qu'il faut protéger

Sur l'île de Grande Comore, la superficie irrigable est quasi nulle. Seules quelques surfaces peuvent bénéficier d'une irrigation de complément pour autant qu'un lourd investissement (forages profonds, citernes, etc.) soit réalisé. Seuls des usages très limités et à haute valeur ajoutée peuvent être envisagés (maraîchage, pépinières). En 1987, le recensement des superficies irriguées n'indiquait que 5 ha de superficies équipées en maîtrise totale/partielle. En 1991, seule la ferme de Sangani bénéficiait d'une irrigation de complément.

Sur l'île d'Anjouan, 203 ha avaient été recensés au début des années 70 comme potentiellement irrigables. C'est dans la zone côtière (Bambao, Patsy, Koki) et sur le plateau (Tsimbeo, Dindi, Chandra) qu'une irrigation a été développée pour de petits périmètres rizicoles ou des cultures intensives de canne à sucre, basilic et de petit maraîchage. Environ 40 ha ont été recensés comme terres irriguées en 1987.

Sur l'île de Mohéli, 100 ha ont été recensés en 1973 comme potentiellement irrigables. Quelques petits périmètres maraîchers ou à vocation rizicole sont irrigués, comme dans la plaine de Nioumachaoua. Au total, en 1987, 85 ha étaient irrigués.

Iles de la lune